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COMMUNIQUE DE
PRESSE
DES COMITES IRAK DE BASE
- 23 JUIN 2004 -
Français
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LE VRAI BILAN HUMAIN EN IRAK :
UN GENOCIDE PROGRAMME PAR WASHINGTON
Les démographes évaluent
l'ampleur d'une tragédie humaine en mesurant l'excès de
mortalité par rapport à la même population dans une
situation stable. Les femmes sont les premières victimes des
guerres, des embargos et des occupations.
Concernant l'Irak,
l'UNICEF a établi que le taux de mortalité des moins de cinq
ans (131 décès pour 1000 naissances vivantes) est
aujourd'hui « deux fois et demie supérieur à son
niveau d'il y a dix ans ». Or, l'Irak a connu son taux
le plus bas à la veille de la guerre du Golfe, en 1990, avec
40 décès pour 1000 naissances vivantes, c'était alors l'un
des plus bas au monde. Et la preuve du succès et de
l'efficacité du système ba'athiste.
Il en résulte que, l'excès
de mortalité calculé à partir de ces chiffres s'élève à
1,5 million pour la période 1991-2004. En 1998, Denis
Halliday, coordinateur de l'aide humanitaire en Irak pour les
Nations Unies, avait démissionné de ses fonctions en
affirmant que l'embargo qu'on lui demandait de faire appliquer
« [correspondait] à la définition du génocide ».
Madeleine Albright
trouvait acceptable 500.000 enfants irakiens
morts en 1996, dans l'optique de la destruction du
Ba'athisme. James Baker, secrétaire d'Etat US, affirmait à
Tarek Aziz en 1991 que l'embargo allait « renvoyer
l'Irak à l'âge de la pierre »… Ce sont les mêmes criminels
de guerre yankee qui osent parler des droits de l’homme
en Irak et au Proche-Orient. Et qui envisagent de faire
« juger » par leurs valets irakiens le Président
Saddam Hussein.
Vive la Résistance ba’athiste irakienne !
Vive l’Irak libre !
Pour la Cause des Peuples : Yankee Go Home !
La Coordination transnationale des "Comités Irak"
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